in

A Dour, les luthiers numériques en mettent plein les yeux


Il n’y a pas que du son, ici, il y a aussi du visuel. Et des images qui bougent, pour accompagner les dj’s animant le dancefloor de la Balzaal. Elles sont l’œuvre des « artistes numériques » annoncés comme tels par le festival et dont il ne peut désormais plus se passer.


Article réservé aux abonnés


Temps de lecture: 4 min

La Balzaal est à coup sûr l’un des espaces les plus impressionnants aménagés sur le site de Dour. Imaginez une grande arène pouvant accueillir quelque 15.000 personnes, au contour fait de baffles et de gigantesques écrans vidéo horizontaux. De jour comme de nuit, les dj’s s’y succèdent pour faire bouger une foule où l’on en prend plein les yeux et les oreilles. C’est qu’il n’y a effectivement pas que du gros son, à la Balzaal, mais aussi des images, abstraites ou non, c’est selon. Ces immenses « projections », elles, sont signées par des équipes de vj’s (lisez : vidéo jockeys) qui, pendant 5 jours, illuminent les lieux de leur art. Des équipes rassemblées par deux curateurs, eux-mêmes également artistes numériques : Simon Médard, par ailleurs également actif dans le cinéma d’animation, et Vincent Evrard, qui enseigne la programmation, l’électronique et la pratique artistique quand il n’est pas sur Dour.



Cet article est réservé aux abonnés

Accédez à l’information nationale et internationale vérifiée et décryptée
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique (PDF)
  • Un confort de lecture avec publicité limitée









Source link

What do you think?

Written by elitebrussels

« Histoire de la chirurgie », sur Arte : l’art tranchant du scalpel

La Belgique possède un des logos McDonald’s les plus rares au monde