![Vue de l’exposition Nicolas de Staël au Musée d’art moderne de Paris.](https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ls_16_9_864w/2023/11/08/node_548115/30611761/public/2023/11/08/7540388.jpeg?itok=-lu1W_o31699452946)
![Jean-Marie Wynants](https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles/thumbnail/taxonomy_term_2094/27257539/public/thumbnails/image/191118jeanmariewynants.jpg?itok=v1MXJ8Cj1574082363)
Par Jean-Marie Wynants
Toute ma vie, j’ai eu besoin de penser peinture, de voir des tableaux, de faire de la peinture pour m’aider à vivre, me libérer de toutes les impressions, toutes les sensations, toutes les inquiétudes auxquelles je n’ai jamais trouvé d’autres issues que la peinture », écrivait Nicolas de Staël. Se doutait-il alors que, près de 70 ans après sa mort, sa propre peinture continuerait à nous aider à vivre et à regarder le monde différemment ?
Accédez à l’information nationale et internationale vérifiée et décryptée
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique (PDF) Un confort de lecture avec publicité limitée