Par Jean-Marie Wynants
Toute ma vie, j’ai eu besoin de penser peinture, de voir des tableaux, de faire de la peinture pour m’aider à vivre, me libérer de toutes les impressions, toutes les sensations, toutes les inquiétudes auxquelles je n’ai jamais trouvé d’autres issues que la peinture », écrivait Nicolas de Staël. Se doutait-il alors que, près de 70 ans après sa mort, sa propre peinture continuerait à nous aider à vivre et à regarder le monde différemment ?
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