Par Julie Huon, depuis Paris
Sous la nef du Grand Palais, une cage. Dans la cage, une balançoire. Et sur la balançoire, il y a Riley Keough, la petite-fille d’Elvis. Elle vient de s’asseoir, micro à la main, après avoir traversé le podium en chantant, vêtue d’une robe de mousseline noire dont la longue traîne se déploie maintenant comme une paire d’ailes sombres battant l’air au-dessus du public.
Chanel, désormais grand mécène du Grand Palais – selon l’appellation officielle – a réinvesti les lieux ce mardi matin. Sous la verrière et les légendaires structures métalliques totalement rénovées, la porte de la cage est grande ouverte et une nuée de femmes-oiseaux commencent à défiler. En guise de plumage, des capes en mousseline, des jupes fendues, des robes chemises transparentes rebrodées, des pantalons larges, des trenchs imprimés de… plumes. La collection est une ode à la délicatesse, à la légèreté, au mouvement.
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