
Par Danièle Gillemon
Habitué de ces cimaises saint-gilloises, Félix Hannaert nous revient avec une manne de peintures assez surprenantes. Coutumier d’un minimalisme absolu, d’une géométrie stricte où bandes parallèles et carrés s’interrogent et s’animent parfois d’une dissidence infime, de tons plutôt sourds et profonds, le peintre cette fois joue la couleur à fond. Couleurs vives, sonores, franches, accords osés parfois de couleurs assez neutres comme des roses, des jaunes et des bleus pâles, des pastels, des oranges et des verts clairs… et des structures réduites au strict minimum. Un nouveau défi, un flirt avec l’absolu C’est du moins le parti pris au premier niveau de l’exposition car à l’étage on retrouve des associations plus familières, dans des déclinaisons de verts et de bleus foncés.
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