Par Thierry Mertenat («Tribune de Genève»)
Il pourrait ouvrir demain une maison de retraite pour vieux musiciens et en devenir l’intendant principal. Une sorte de casa Verdi, mais délocalisée de Milan à Kingston. C’est quoi ce délire ? C’est de l’ethnomusicologie appliquée, une discipline artistique dans laquelle Mathias Liengme, jeune trentenaire à la tête bien faite, excelle depuis plus d’une décennie.
Déjà cinq voyages de Genève jusqu’en Jamaïque pour des séjours à durée variable, d’une petite semaine à trois mois. A chaque fois, l’exercice consiste à faire le grand saut entre les générations, à remonter dans le temps, à plonger tout habillé dans l’âge d’or de la musique reggae.
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