Par Jean-Marie Wynants
Le fait qu’un artiste marche, au sens premier du terme, c’est-à-dire qu’il mette un pied devant l’autre et répète ce mouvement indéfiniment afin d’avancer, n’a, en soi, rien d’exceptionnel. Michel François confiait lors de sa récente exposition à Bozar qu’il passait énormément de temps à marcher dans son atelier avant que l’idée d’une œuvre prenne forme. Bien avant lui, les premiers paysagistes ont arpenté vallées et collines pour y planter leur chevalet et tenter d’immortaliser la beauté de la nature « sur le motif ». Dans les villes ou dans les campagnes, à l’intérieur ou à l’extérieur, les artistes marchent comme chacun d’entre nous.
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