Par Catherine Makereel
Si la vague MeToo a déferlé à de nombreuses reprises sur les milieux du cinéma, de l’édition ou des arts de la scène, elle n’avait pas encore beaucoup éclaboussé le monde de l’art contemporain. Ce week-end, un article du Monde a levé le voile sur des pratiques malsaines qui auraient lieu de manière structurelle dans ce milieu où le pouvoir est principalement détenu par les hommes.
désirs les plus sombres, les plus sales, les plus inavouables ». Contacté par nos soins, Juan D’Oultremont admet avoir entretenu une relation avec Deborah de Robertis à la fin de ses études, lorsqu’elle avait 25 ans. Une relation qui était, selon lui, « réciproquement consentie » et dont il n’aurait pas été à l’initiative.
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