
Par Didier Zacharie (avec M.Bn)
Un prédateur sexuel violent qui utilisait drogues et alcool pour obtenir la soumission de femmes souvent mineures. C’est ainsi qu’est décrit Sean Combs par 120 personnes qui ont porté plainte contre lui depuis novembre 2023, prémices d’un #MeToo musical que d’aucuns comparent avec les sordides affaires Weinstein ou Epstein.
D’après l’acte d’inculpation, le rappeur-entrepreneur s’appuyait sur « les ressources et l’influence de l’empire commercial multifacettes qu’il dirigeait et contrôlait pour créer une entreprise criminelle dont les membres se sont livrés au trafic à des fins d’exploitation sexuelle, au travail forcé, à l’enlèvement, à l’obstruction de justice ».
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