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Philippe Devos : « Le secteur de la petite enfance est trop rigide, on a besoin d’innover »


Le directeur général d’Unessa, la Fédération du secteur associatif actif dans l’accueil et le soin aux personnes, livre sa vision alors que les milieux de la petite enfance étaient en grève ce mercredi. Sans big bang, le secteur va se crasher. Le politique doit se remuer…


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Cheffe adjointe du pôle Société


Temps de lecture: 5 min

La blouse blanche et le stéthoscope remisés au placard, le médecin intensiviste liégeois Philippe Devos est devenu, depuis juin dernier, le grand patron d’Unessa, la fédération professionnelle qui rassemble les organisations et institutions à but non lucratif exerçant dans le domaine de la santé, des soins, de l’aide et de l’accueil aux personnes. Soit plus de 500 structures en Wallonie et à Bruxelles et autant de milliers de travailleurs dont la voix, au travers d’Unessa, pèse sur le débat sociétal et politique. Bien décidé à mettre son expérience professionnelle – il a été directeur médical au Mont Légia à Liège – et médiatique acquise durant la pandémie de covid au service d’un secteur en pleine crise, Philippe Devos dégaine son franc-parler pour évoquer les difficultés chroniques de l’accueil de la petite enfance parti une énième fois en grève ce mercredi.



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Written by elitebrussels

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