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Dès le début de l’année
Le calendrier est posé : les premiers véhicules devraient être opérationnels dès le début de l’année prochaine. Dans un premier temps, chaque voiture autonome transportera un opérateur de sécurité capable d’intervenir si nécessaire. Uber et Momenta affirment viser une offre “sûre, évolutive et efficace”.
Si, depuis plusieurs mois, les essais de robotaxis se multiplient aux États-Unis et en Chine, l’Europe reste un terrain plus complexe. Les législations nationales et européennes freinent encore l’arrivée de véhicules sans chauffeur sur la voie publique. À ce stade, Uber n’a pas précisé dans quels pays les premiers déploiements auront lieu, ni les modèles utilisés.
Uber est désormais disponible partout en Belgique
L’entreprise dit néanmoins vouloir anticiper les évolutions réglementaires et travailler avec les autorités concernées. L’objectif est de faire progressivement accepter ces véhicules autonomes, d’abord accompagnés, puis totalement indépendants.
À noter qu’Uber n’est pas seul sur ce créneau. Tesla développe son propre système de conduite autonome intégré à ses véhicules. Waymo (développé par Google) opère déjà des services de robotaxis à grande échelle dans certaines villes américaines. Lyft, le principal concurrent d’Uber aux États-Unis, teste également des solutions similaires.
