in

Antoine de Vinck, le miroir de l’âme


Le parcours, au Château Jourdain, de ce potier sculpteur à part entière.


Article réservé aux abonnés


Temps de lecture: 1 min

Avant de s’installer en France en 1984, le céramiste fut pendant une trentaine d’années l’habitant de Craainem. Lui rendre hommage dans cette demeure emblématique de la commune, plus ferme que château, est donc bienvenu. Deux belles et grandes salles aux charpentes anciennes accueillent une exposition très fournie en pièces uniques provenant de collections publiques et privées. De Vinck fut certes céramiste et designer au sens classique du terme mais surtout sculpteur à part entière grâce à sa maîtrise de techniques sophistiquées qui lui permettaient d’exceller au même titre que les plus notoires des tailleurs de marbre, pierre ou bois… Et de réaliser des pièces d’envergure au décor parfois extrêmement travaillé (moules de couches d’argile créant dessins et textures variés) mis en valeur par des formes sobres et monumentales telles ses stèles ou cette singulière « Pierre sacrée », compartimentée en surface où pleuvent quelques larmes d’émail rouge.



Cet article est réservé aux abonnés

Accédez à l’information nationale et internationale vérifiée et décryptée
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique (PDF)
  • Un confort de lecture avec publicité limitée









Source link

What do you think?

Written by elitebrussels

Chiffrage des priorités des partis politiques par le Bureau du Plan : la mariée est vraiment trop belle

Un pop-up dédié à la musique électro ouvre ses portes à Bruxelles