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Doudounes : pour 1.000 balles, t’as plus rien !


LVMH a pris une participation dans le fabricant de vestes de ski Moncler. Les héritiers de Lacoste possèdent la marque Fusalp. Histoire d’une montée en gamme. Avec LéNA, découvrez le meilleur du journalisme européen.


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Par Nicolas Pinguely («Tribune de Genève»)


Temps de lecture: 4 min




Michel Blanc, avec ses inénarrables combinaisons de ski, nous a quittés. Tristesse. Les Bronzés ne skient plus. Hasard (malheureux) du calendrier, on apprend que les vestes de montagne Moncler intéressent le groupe de luxe LVMH, qui vient de prendre une participation dans cette PME franco-italienne. Les vestes de ski se veulent aujourd’hui branchées. Et plus seulement à Verbier, Megève ou Gstaad.

Bref, les temps changent. Pour un peu, on pourrait même dire que le pathétique Jean-Claude Dusse, campé par le défunt acteur à la fin des années 70, est un lanceur de tendance. Les doudounes de montagne portées à Paris ou à Genève sont effectivement devenues très hype. De Moncler à Fusalp, les marques d’habits et articles de ski, lancées dans la région grenobloise dans les années 50, en ont fait leur spécialité. Alors que ces dernières se trouvaient en grande difficulté au début des années 2000, elles ont depuis visé le segment du luxe. On parle de doudounes à souvent plus de 1.000 euros.



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