Par Alexandre Pintiaux
Ces dernières années, nous avons tous été confrontés à ces nombreuses actions politiques faites dans les musées par des militants partout dans le monde, impliquant, bien malgré elle, une œuvre généralement emblématique se retrouvant ciblée par de jeunes activistes écologiques, fardés de banderoles et autres t-shirts avec le message qu’ils entendent faire passer.
Nous évoquions dans notre dernière chronique les règles applicables en faveur de l’auteur de l’œuvre visée par le militant, et celles applicables du point de vue du propriétaire de l’œuvre. Ces deux entités, victimes au sens juridique du terme de l’attaque écologique, seraient en droit de demander des dommages et intérêts en vue de réparer leur préjudice qu’elles auront pris soin de chiffrer.
Il convient maintenant de nous tourner vers les conséquences pénales qu’encoure ledit militant et les arguments qu’il peut utiliser pour se défendre.
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