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Les feux de l’amour selon Tracey Emin chez Xavier Hufkens


L’artiste britannique livre sa vision, entre passion et douleur, dans une cinquantaine de toiles, intimes ou monumentales, réalisées pour la plupart en 2023 et 2024.


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Journaliste au pôle Culture


Temps de lecture: 2 min

L’amour, l’amour, toujours l’amour. À la galerie Xavier Hufkens, l’artiste britannique Tracey Emin entraîne le visiteur dans un tourbillon d’amour qui n’a rien d’un long fleuve tranquille. Dans la vaste salle ouvrant le parcours, quatre grandes toiles donnent le ton avec leurs traits vifs et superposés, leurs silhouettes esquissées, leurs corps féminins troublés et leurs titres évocateurs : Why Should Love Keep Hurting (Pourquoi l’amour devrait-il continuer à faire souffrir), I watched Myself die and come alive (Je me suis regardé mourir et venir à la vie), The Nightmare (Le cauchemar) et Always A Mirror (Toujours un miroir).



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Written by elitebrussels

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