Par Jean-Marie Wynants
L’amour, l’amour, toujours l’amour. À la galerie Xavier Hufkens, l’artiste britannique Tracey Emin entraîne le visiteur dans un tourbillon d’amour qui n’a rien d’un long fleuve tranquille. Dans la vaste salle ouvrant le parcours, quatre grandes toiles donnent le ton avec leurs traits vifs et superposés, leurs silhouettes esquissées, leurs corps féminins troublés et leurs titres évocateurs : Why Should Love Keep Hurting (Pourquoi l’amour devrait-il continuer à faire souffrir), I watched Myself die and come alive (Je me suis regardé mourir et venir à la vie), The Nightmare (Le cauchemar) et Always A Mirror (Toujours un miroir).
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