elitebrussels
Qu’allons-nous retrouver dans votre pop-up store ?
“Ce pop-up store va respirer Noël et le bien-être. On va élargir LELA au bien-être général. On va y retrouver le bien-être qu’on s’octroie à soi avec les crèmes et autres, le bien-être par les bougies et le bien-être de se retrouver avec les gens qui nous font du bien autour d’une belle table. Exclusivement dans cette boutique, les gens trouveront donc des décorations de table idéales pour les brunchs de Noël. Une déco réconfortante qui donne envie de s’asseoir à table.“
Radio, télé, votre marque de cosmétiques et bien-être, comment arrivez-vous à tout gérer ?
“Je ne dors pas assez ! Pour la radio, il faut se lever tôt mais on s’éclate comme des fous. Ça reste une récréation, même si le réveil est difficile. L’Amour est dans le pré me prend beaucoup de temps aussi. Mais, j’ai adoré tourner ces épisodes. Et pour ce qui est de LELA, je suis loin d’être seule dans le projet. Je me repose beaucoup sur Laurent et sur Hélène, qui a rejoint l’équipe et qui se seconde super bien, pour faire avancer ce projet qui devient chaque jour un peu plus grand. Si on veut bien faire les choses, ça ne peut pas reposer que sur moi.“
C’est grâce aux encouragements de votre compagnon, Laurent, que vous avez lancé votre propre marque il y a un an ?
“J’avais ce projet en tête depuis des années mais je n’avais pas les armes, les bons outils et ne savais pas quel était le bon chemin à prendre pour bien faire naître ce projet. Laurent a fait en sorte de me faire sauter le pas. Grâce à lui, je n’ai pas eu peur de me lancer dans un projet de cette ampleur. Ma vie est faite de ce genre de rencontres. Quand j’étais en rhétos, il fallait que je choisisse un métier. Je savais que j’avais quelque chose d’artistique en moi mais je n’osais pas me lancer. Mes parents n’étaient pas du tout dans le milieu, je n’avais jamais entendu parler du conservatoire, je ne savais pas du tout comment m’y prendre. Et, un jour, par hasard, ma maman a discuté avec une personne qui donnait des cours de théâtre. J’y suis allée et le directeur du théâtre m’a repérée. C’est comme ça que je suis devenue comédienne. J’ai eu l’impulse de quelqu’un. C’est la même chose pour LELA.“
La Maria Del Rio femme d’affaires est-elle différente que la Maria Del Rio animatrice ?
“Pas du tout. Je ne pense pas qu’être une femme d’affaires est mes gênes. On est deux à avoir créé cette marque. Laurent a plutôt la casquette de l’homme d’affaires et moi celle de la personne qui a un côté plus sensible et naïf. Mais, à côté de ça, je sais exactement ce que je veux pour chaque produit que je sors. Je sais où je veux aller. Je ne fais aucun compromis sur ce que je propose. Notamment parce que je sais qu’en tant qu’animatrice, je peux être plus facilement pointé du doigt. Il faut donc que ce que je propose corresponde à ce que j’ai vraiment dans les tripes et dans le cœur.“
Est-ce que votre expérience d’animatrice sert celle d’entrepreneuse et inversement ?
“Elles sont complémentaires. Il y a dix ans, je n’aurais jamais eu la maturité de me lancer dans une pareille aventure. Mais, ce lien précieux que j’ai réussi à créer avec ma communauté m’a poussé à le faire également. Nombreux sont ceux à me poser des questions sur ce que je fais pour mon bien-être. Plutôt que d’expliquer en message privé sur les réseaux sociaux, je leur propose quelque chose. C’est extrêmement jouissif et inspirant de pouvoir créer des choses. Et, j’ai de beaux retours, notamment de femmes qui me disent qu’elles ont, du coup, elles aussi osé faire des choses.“
