Par Catherine Cochard («Tribune de Genève»)
A partir d’un certain prix, on ne dit plus vintage ou second hand, mais pre-owned ou pre-loved. Deux anglicismes que le marketing a sortis de son chapeau pour qualifier les produits de luxe – sacs à main, vêtements, montres ou bijoux – qui sont mis en vente au moins pour la deuxième fois depuis leur première commercialisation. Des termes choisis pour véhiculer l’idée de posséder, désirer, réparer et transmettre, à l’inverse de la consommation de masse, qui jette.
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