Par Pascal Lorent
Ceux qui se demandaient si la Vivaldi allait passer le violon à gauche, le week-end dernier, en sont pour leurs frais : mercredi, la coalition n’a pas cassé son archet sur le dossier de la loi anticasseurs. Comme souvent, la crise s’est fait crisette et les cris mis en sourdine. Après la sortie de Paul Magnette (PS), le weekend dernier, sur le mode « on ne votera pas les trois articles de ce projet de loi mais on est prêt à voter le reste du texte », et la réplique du MR rappelant qu’un accord est un accord et que le dénoncer, c’est perdre ce qui faisait office de contrepartie, on attendait le kern de ce mercredi pour voir comment allait tourner cette nouvelle passe d’armes.
Accédez à l’information nationale et internationale vérifiée et décryptée
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction Le journal en version numérique (PDF) Un confort de lecture avec publicité limitée