Plus d’une centaine de manifestants sont venus exprimer tout haut leur colère, jeudi soir, à l’ouverture de l’exposition de Bastien Vivès à Bruxelles.
« Pas de vitrine sur Vivès », « Casse-toi, la honte doit changer de camp », « Justice nulle part, police partout », « On n’en peut plus d’une société qui tolère ça »… Pour tous ceux et celles qui étaient rassemblés aux portes de la galerie, place du Châtelain, à Ixelles, « sexualiser les enfants dans une bande dessinée » n’avait « rien de drôle ni de subversif » et ce n’était tout simplement « pas de l’art ».