Par Jean-Marie Wynants
D’un côté, une sorte de paysage truffé de collines inextricables. De l’autre, un morceau de tronc d’arbres, protégé par un caisson de verre. Le premier est accroché au mur. Le second posé sur des tréteaux. Tous deux sont colorés de teintes douces et délicates.
Dans l’univers de Valérie Novello, la nature est partout. Non pas une nature soigneusement reproduite comme chez les peintres paysagistes mais une sorte de sensation, de mémoire de cette nature. Ses grands dessins sur papier du Népal ou papier japonais ne ressemblent en rien à des paysages classiques. Une infinité de traits s’y entrecroisent, s’y côtoient, formant comme des vagues immobiles, un mouvement sinueux évoquant des vallées, des collines, des roches, des bouquets de verdure.
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