Par Thierry Coljon
Maurice Jarre, comme Johnny Hallyday après lui, (tous les deux vivant aux Etats-Unis au moment de leur décès) s’est servi du droit américain pour déshériter ses enfants. Le droit américain est différent du nôtre, il n’existe pas là-bas la « part de réserve » (terme utilisé en Belgique alors qu’en France on parlera davantage de « réserve héréditaire ») qui revient automatiquement aux héritiers directs (parents et/ou enfants).
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