Par Alain Lallemand
La question se pose avec acuité depuis plus de trois ans maintenant. En novembre 2020, les directeurs généraux de l’Africa Museum, des Musées royaux d’art et d’histoire et de l’Institut royal des sciences naturelles, tous confrontés à la présence de restes humains dans leurs collections scientifiques, ont interrogé le comité consultatif de bioéthique de Belgique : « Il n’existe pas en Belgique de statut (…) juridique pour les restes humains (…) Sont-ils appropriables ? (…) leur mise en commerce est-elle légale ou non ? » Derrière cette interrogation éthique pointait l’attitude à adopter lors de « demandes éventuelles de restitution/ rapatriement » de ces restes humains.
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