![Chez Leïla Menchari, directrice de la décoration des vitrines Hermès qui possédait un jardin en Tunisie (Hammamet) que Jean-Claude Ellena devait visiter et… mettre en flacon.](https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ls_16_9_864w/2023/12/22/node_557243/30737043/public/2023/12/22/9747754.jpeg?itok=iFIxtXHN1703268485)
![Julie Huon](https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles/thumbnail/taxonomy_term_6077/30513195/public/thumbnails/image/231003juliehuon.jpg?itok=DKFiP3JX1696348832)
Par Julie Huon
Clairement, il est tombé dans la marmite étant petit. Jean-Claude Ellena a vu le jour à Grasse, qui est à la parfumerie ce que Hollywood est au cinéma. Le cœur de tout.
Il tombe dans la marmite, enfin les alambics plutôt, d’une ville où son père était parfumeur et ses grand-père, grand-mère, arrière-grand-père et arrière-grand-mère, ouvriers et ouvrières du parfum. Rien de surprenant donc à ce que, à sa sortie de l’école publique, avec en poche « un certificat d’études primaires réussi laborieusement grâce aux notes de chant, de dessin et de sport », on le pousse à son tour à écarquiller les narines. Jusqu’à devenir, comme il le dit lui-même, compositeur de parfums. Probablement parmi les trois plus grands au monde.
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