in

Le Christian Dior belge a un nom : Jules François Crahay


Tout le monde l’a oublié. Dans sa nouvelle exposition, le Musée Mode et Dentelle, à Bruxelles, réhabilite le premier couturier belge à avoir pris la direction artistique d’une maison française. Il était Liégeois et a régné sur Lanvin et Nina Ricci pendant… 30 ans.


Article réservé aux abonnés

Cheffe adjointe du pôle Culture


Temps de lecture: 1 min

Il aimait la légèreté. Il créait des capes ou des effets de capes qui donnaient comme des ailes à ses modèles. A tel point que, dans la presse des années 1960, on l’appelait Superman ou D’Artagnan. Pourquoi on ne sait rien de Jules François Crahay ? Ou si peu, en dehors des modèles conservés dans les musées. Pourquoi aucune archive le concernant chez Nina Ricci ? Que sont-elles devenues ? Pourquoi, chez Lanvin, on n’a retrouvé aucun carnet de fournisseurs ou de clientes, aucune correspondance ?

C’est dans l’air du temps. Au même moment, Yves Saint Laurent triomphe avec sa collection « Ballets russes ». Un événement. Cinquante ans après, on en parle encore. Et de son nom, lui, on se souvient.



Cet article est réservé aux abonnés

Accédez à l’information nationale et internationale vérifiée et décryptée
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique (PDF)
  • Un confort de lecture avec publicité limitée







Source link

What do you think?

Written by elitebrussels

En Flandre, 20% de jeunes enfants en plus avec un grand retard d’apprentissage : “J’entends nos membres dire qu’il se passe quelque chose”

Des places offertes pour suivre Taylor Swift en concert