![C’est un Giorgio Armani bougon qui s’est exprimé sur les femmes, la mode, les créateurs étrangers et Giorgia Meloni il y a quelques jours à Milan, juste avant son défilé automne/hiver 2024-2025.](https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles_v2/ls_16_9_864w/2024/02/28/node_571366/30927817/public/2024/02/28/13268222.jpeg?itok=Y5Y88vx31709153712)
![Julie Huon](https://leseng.rosselcdn.net/sites/default/files/dpistyles/thumbnail/taxonomy_term_6077/30513195/public/thumbnails/image/231003juliehuon.jpg?itok=DKFiP3JX1696348832)
Par Julie Huon
Plutôt vrai
Ce sont trois ou quatre phrases lâchées tout sourire par Giorgio Armani, dimanche à Milan. Il y tenait une conférence de presse de quinze minutes avant son triple défilé – triple, oui, car la foule se presse tant aux shows du maestro qu’il est obligé de les multiplier – dans son palais historique de la Renaissance, au 41 Via Borgonuovo.
L’empereur de la mode italienne y parle évidemment de sa collection de prêt-à-porter pour l’automne-hiver 2024-2025, de l’Orient, sa principale source d’inspiration, des fleurs, motifs récurrents de ce vestiaire intitulé Winter Flowers, et du fait que « la sensation excitante de faire un défilé reste la même que lorsqu’(il a) commencé ».
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