Par Julie Huon
Il y a une fille, elle peint avec son ongle. Son ongle ! Un autre, il sculpte de minuscules bonhommes bourrés de détails dans… la mine des crayons. Des dingues, de douces et doux dingues qui font perdurer une technique qui existe depuis la préhistoire : l’art miniature. Il a tout d’abord servi la représentation des croyances puis, au fil des siècles, s’est épanoui dans les maisons de poupées ou le modélisme ferroviaire. Aujourd’hui, l’utilisation des échelles n’est limitée que par l’imagination, certain(e)s artistes s’aventurant au-delà du 1/200e. Les réseaux sociaux ont contribué à faire de leur univers de véritables petits musées de poche et une exposition leur rend hommage sur la Grand-Place de Bruxelles jusqu’au 31 janvier, dévoilant le travail bluffant de 18 artistes internationaux
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