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Par Julien Bialas
C’est un des pionniers de l’offre de grandes tailles du prêt-à-porter. La semaine passée, le site d’informations L-Post révélait que les enseignes Cassis et Paprika avaient sollicité l’ouverture d’une procédure de réorganisation judiciaire privée en raison d’importantes difficultés financières. Objectif de la manœuvre ? « Donner à l’entreprise l’opportunité de continuer à se développer et de négocier de manière plus efficace avec ses créanciers », justifiait alors la direction dans un court communiqué.
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